- MATHILDE -
"J'ai commencé à suivre Pepita sur Instagram quelques mois avant de commencer un coaching avec elle. Avant même le coaching, ce qu'elle partageait sur Instagram et Youtube m'a fait avoir un déclic assez impressionnant quand j'y repense.
J'ai arrêté quasiment aussitpit de suivre des comptes Instagram ou des chaines Youtube ultra culapbilisantes.
Ici, on voyait du VRAI, des performances acquises grâce à de la motivation, de la détermination et même des échecs parfois. Ça fait du bien de voir ce genre de personne, tellement que je ne voulais plus suivre que des meufs comme ça, qui font des pompes, des tractions, des squats, du bench, du soulevé de terre etc.
En fait, j'ai eu l'impression de découvrire un nouveau monde, celui où la femme peut faire des trucs de dingue avec ses msucles et ose le montrer.
Pour moi, avant, le sport c'était uniquement le cardio, ou faire des squats dans le vide et du hip thrust avec un disque de 5 kilos. La muscu, c'était à mes yeux que pour les hommes. Mais en même temps, avec le nombre de fitness girl et même d'hommes populaires sur les réseaux qui pronent uniquement des exos au poids du corps avec des séries très longues pour les femmes, pour ne pas qu'elle prenne de volume musculaire mais plutôt pour qu'elles s'affinent et pour "dépenser beaucoup de calories" soit disant, je m'étais construite autour de ça.
J'avais déjà quelques mois de muscu en salle avant de commencer le coaching avec Pepita, j'avais déjà réussi un peu à déconstruire mon schéma de pensée autour du fitness pour les femmes/muscu pour les homme. Mais au final je ne m'y connaissais pas encore très bien et je faisais les choses un peu au hasard.
Avec Pepita, j'ai appris à dire que je suis/vais devenir une grosse machine et ça a renforcé mon envie de me surpasser à la salle, en pronant les performances sportives plutôt qu'uniquement les résultats physiques.
Mon appel à elle pour un coaching a donc été naturel. Je ne me voyais pas être coachée par quelqu'un d'autre. En fait, j'étais déjà à 99% sûre de ne pas être déçue. Je voulais avoir une coach qui prenait VRAIMENT en compte mes objectifs, mes envies, mes besoins, mes limites physiques et qui m'aiderait à dépasser mes craintes ou les limites que je me fixais sans raison. c'est ce qu'elle a fait.
Mes objectifs étaient clairs : on avait environ 6 mois pour m'entrainer aux sélections d'entrée en BPJEPS AF, pour devenir coach sportive. J'ai tout de suite eu un programme adapté pour cet objectif là, très bien construit, vraiment facile à comprendre et à suivre dans le temps. Le plus important, c'est que c'était la première fois de ma vie que j'avais une pratique vraiment cadrée et que je savais exactement où j'avais progressé, où je stagnais, et ce que je devais faire pour améliorer mes performances.
Pepita est disponible pour ses coaché.e.s quasiment toute la journée, 7/7, je ne me suis jamais sentie seule. Je me suis sentie épaulée, encouragée, j'avais l'envie de tout donner pour moi mais j'avais aussi envie de lui prouver qu'elle faisait un travail remarquable, ce qui me poussait à bien m'entrainer.
Même quand je ne pouvais pas faire un entrainement, ou que je n'avais pas le moral, je n'ai jamais ressenti la moindre pression de sa part, uniquement de la compréhension et souvent, les bons mots pour me redonner un coup de boost.
Au niveau de l'alimentation on a augmenté de 350 kcal mes calories journalières sans que je ne prenne de poids sur la balance. Ayant souffert de troubles du comportement alimentaire, c'était important pour moi de ne pas avoir une alimentation stricte et basse en calories. C'est bien la première fois qu'une coach me mettait du Nutella et de la glace dans mon programme alimentaire, et pas juste des haricots verts, du riz et de la dinde à chaque repas.
La création du #strongwomenfactory (j'en parle parce que même si ce n'est pas réservé qu'aux coaché.e.s, ça a fait partie de mon évolution mentale), m'a donné encore plus raison d'avoir choisi cette coach, encore plus l'envie de prouver que les femmes ont le droit de montrer qu'elles sont fortes, qu'elles peuvent faire des tractions, des pompes, qu'elles peuvent être musclée si elles en ont envie, sans en avoir honte, et même au contraire, en être fières.
En 6 mois de coaching, j'ai eu une nouvelle mentalité face au sport, j'assume de faire les pecs à la salle avec des charges croissantes, je suis fière de faire partie de ces femmes qui osent aller sur les plateaux de muscu envahis à 95% d'hommes la majorité du temps. Je suis heureuse d'avoir appris à faire des tractions et des pompes, choses que je n'aurai jamais pensé pouvoir faire parce que soit disant c'est réservé aux hommes. En gros, j'ai découvert une grande partie de mon potentiel.
Je fais une pause dans mon coaching, le BPJEPS ne sera pas pour cette année parce qu'on aura eu que 4 mois en salle à cause du COVID19 et du confinement, mais une chose est sûre, je poursuivrai mon coaching avec une seule et unique personne quand je serai de nouveau prête et en pleine forme : PEPITA ! "